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ARTISTE :    MAGALI  RASPLUS-GAY

DEMARCHE ARTISTIQUE

Peut-on parler de démarche artistique lorsqu’on traite d’icônes byzantines ?

Assurément, oui. Car c’est l’aboutissement d’un travail d’artiste peintre et d’une recherche spirituelle qui est le point de départ de ce CHEMIN VERS LA LUMIERE commencé en juillet 2015.

Bien sûr, à l’origine de cette route, il y a une rencontre, LA rencontre avec Jésus, le Christ ressuscité, et cette envie de concilier les dons reçus du dessin et de la foi.

Je pensais que donner une dimension spirituelle à mon travail en peignant des ex-voto suffirait mais la peinture religieuse n’a été qu’une étape. C’est vers l’art sacré des icônes que j’ai été conduite et c’est cet art que je compte développer et faire connaître.

Le Christ et sa mère

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Scènes d’Evangile et Saints

Saint Christophe, étapes de réalisations.

Dessins

Magali Rasplus-Gay

Iconographe

Magali Rasplus-Gay

8 Rue de l’Héroult

Le Poudreux

14600 La Rivière Saint Sauveur

06 22 48 67 18

02 31 89 75 45

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Je suis née à Aix-en-Provence le 17 avril 1964, quatrième d’une famille de cinq enfants. Toute petite, le dessin et le bricolage me passionnent. Je suis tentée par un métier dont le dessin serait la trame. La bande dessinée m’attire, mais aussi la décoration pour le théâtre et l’opéra. Mes parents ne sont pas favorables à ce que je fasse l’Ecole des Beaux-Arts ou la filière Arts Plastiques proposée par la Faculté de Lettres d’Aix-en-Provence. Par défaut, je commence un D.E.U.G. d’Histoire de l’Art puis je choisis une voie plus courte pour prendre mon autonomie. Un B.T.S. de Secrétaire Médicale m’entraîne dans le monde de la médecine et je passe ensuite le brevet de Manipulatrice en Electro-Radiologie. C’est dans ce secteur que je vais exercer pendant une vingtaine d’années. J’aurais pu aller enfin aux Beaux-Arts dans le cadre de la Formation Continue mais j’ai finalement utilisé ce système pour passer une Maîtrise de Droit et me préparer aux concours de l’administration générale à l’Institut de Sciences Politiques d’Aix. Toutes choses m’éloignant du secteur artistique… peu de dessin pendant toutes ces années, un don en sommeil, une créativité anéantie…

Le décès de mon père en juillet 2007 me « libère » et, en septembre, je décide de m’y remettre. Je découvre alors l’Atelier Bleu-Vert-Mer, à Trouville-sur-Mer où je peux peindre avec d’autres artistes, amateurs ou professionnels, conseillée par Isabelle et Philippe LEVASSEUR. J’y reste quatre années mais on n’y travaille que la peinture à l’huile et j’ai besoin de découvrir d’autres techniques : je fréquente alors l’atelier de Nicole VATINEL,  « Des Couleurs et des Formes », à Hennequeville pendant trois ans. C’est là, au cours d’un stage, que je découvre la tempéra à l’œuf. J’ai un véritable coup de cœur pour cette technique. Entre-temps, j’ai quitté mon travail pour me consacrer à la peinture et je cherche ma voie dans ce domaine, participant, avec cinq amis, à la création et à l’animation de la P’tite Galerie à Honfleur.

Lors d’un cours, incidemment, Nicole me glisse que  la tempéra est la technique utilisée par les peintres d’icônes. Je connais alors peu de choses aux icônes ; pour moi, il s’agit d’une peinture sombre, aux formes disparates et d’un autre temps. Quelle ignorance ! Quelle stupidité dans cette approche ! Heureusement, quelque chose me pousse à essayer de peindre une icône. A cette époque, j’ignore encore qu’on parle « d’écrire une icône ». Je me munis du document « L’Atelier du Copiste » sur les icônes et, au printemps 2015, je m’inscris à un nouveau stage de tempéra. Malgré toute mon application, l’échec est retentissant. Qu’à cela ne tienne, je recommence chez moi en m’appliquant davantage. Nouvel échec. Et incompréhension. Que me manque-t-il pour réussir ? J’ai besoin de « voir faire ». Je cherche un stage dans la région : l’Abbaye de Mondaye, entre Caen et Bayeux, en propose un en juillet, sous la direction d’Odile EVRARD qui anime l’atelier saint Norbert. Je m’inscris à le dernière minute. Odile me téléphone pour m’expliquer à quoi m’attendre, du genre : « on ne fait pas une icône en cinq jours… ». D’accord. De toute façon, j’y vais pour découvrir, pour apprendre. Et là, c’est la révélation. Je ne peux pas le dire autrement : un véritable éblouissement, une compréhension globale, la certitude que c’est ce que je dois faire dans ma vie et de ma vie. L’icône, comme un Appel.

Depuis ce stage, je me forme très régulièrement en alternant ateliers et stages avec différents iconographes. Je me forme également sur les plans historique, théologique et liturgique. Le Seigneur, qui pourvoie à tous mes besoins, m’a procuré un atelier par l’intermédiaire du Père Pascal MARIE, curé de Honfleur, qui a mis à ma disposition l’église Saint François d’Assise, dans le quartier du Canteloup, à Honfleur.

C’est là que vous pouvez me rencontrer si vous le désirez et je vous y recevrai avec joie.

Magali

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